Dans le précédent numéro, une première partie présentait les théorisations successives de Freud sur le narcissisme et celles plus contemporaines de Kernberg. Dans cette seconde partie, plus clinique, l’auteur tente de démontrer un continuum entre le narcissisme normal et pathologique, d’expliquer les pathologies du narcissisme et le fonctionnement mental conséquent selon la sévérité des pathologies et des régressions. Il aborde aussi les problématiques suscitées dans les relations transféro-contre-transférentielles.