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Collection « Psy pour tous » dirigée par Gérard Bonnet


Comment prendre le temps ? Est-ce encore possible à notre époque où tout un chacun est bousculé, pressé, débordé ?

Ce livre est destiné à chacun d’entre nous. Il s’adresse aussi à tous ceux que frappent la répétition interminable d’un passé

traumatique, même s’ils cherchent à le fuir.

Prendre le temps comme sujet d’étude, pour le psychanalyste, c’est pénétrer au coeur de son propre travail. Un travail qui s’interroge sur les strates de notre mémoire et de notre héritage, sur les traces que laissent tous les âges de la vie, avec leur lot de crises et de fureur. Et sur les moments de folie, de régression ou de fixation aux habitudes malsaines qui forment nos pathologies.

Le temps de l’analyse, son cadre temporel, son rythme et ses étapes, ses moments de mutation, sont autant de moyens de vivre le temps d’une tout autre façon. Et de trouver un art de vivre, un temps d’espoir qui peut s’étayer, pour nous détendre et nous tourner vers l’avenir, vers le temps de l’art et de la création.


L’AUTEUR :

François Duparc est psychiatre, ancien interne des Hôpitaux Psychiatriques de la Seine et psychanalyste. Membre titulaire formateur de la Société Psy-chanalytique de Paris (SPP) et de l’Institut Psychosomatique Pierre Marty de Paris, il a présidé le Groupe Lyonnais de Psychanalyse Rhône-Alpes et exerce à Annecy.

LE DIRECTEUR DE COLLECTION :

Gérard Bonnet est psychanalyste (APF), directeur de l’EPCI où il dispense un enseignement de psychanalyse à un large public. Il a écrit de nombreux ouvrages en psychanalyse. Directeur de la collection « Psy pour tous » aux éditions In Press, il est l’auteur de plusieurs ouvrages de la collection : L’angoisse, L’auto-psychanalyse, L’idéal, Le narcissisme, Plaisir et jouissance et La vengeance.

 

ÉDITIONS IN PRESS • www.inpress.fr

Ses racines et ses débordements

Collection « Psy Pour Tous » dirigée par Gérard Bonnet


Pourquoi la violence inconsciente déborde-t-elle ?

La violence s’impose de façon inquiétante autour de nous sous des modalités multiples. Il ne manque pas d’analyses économiques, politiques ou sociologiques de ces situations. Ce livre apporte l’éclairage de la psychanalyse en mettant en évidence les processus inconscients qui sont à l’oeuvre dans ces comportements. Freud a écrit « pourquoi la guerre ? » à une époque bien plus tourmentée que la nôtre ! Les auteurs de cet ouvrage ont voulu poursuivre et approfondir cette réflexion.

La violence existe et travaille dans l’inconscient. La question est surtout de savoir sous quelles formes, et pourquoi elle déborde régulièrement à nos risques et périls ?


LES AUTEURS :

Benjamin Abdessadok est psychologue clinicien, titulaire d’un DEA et psychanalyste à la Société de psychanalyse freudienne. Membre actif du Conseil d’Administration de l’EPCI, il enseigne dans l’École depuis sa fondation.

Paul-Laurent Assoun est psychanalyste (Espace Analytique), professeur émérite de l’Université Paris VII, il donne plusieurs journées de formation chaque année à l’EPCI depuis de nombreuses années.

Paul Bercherie est psychiatre et psychanalyste.

Gérard Bonnet est psychanalyste (APF), directeur de l’EPCI où il dispense un enseignement de psychanalyse à un large public. Il a écrit de nombreux ouvrages en psychanalyse. Directeur de la collection « Psy pour tous » aux éditions In Press, il est l’auteur de plusieurs ouvrages de la collection .

François Duparc est psychiatre, ancien interne des Hôpitaux Psychiatriques de la Seine et psychanalyste. Membre titulaire formateur de la Société Psychanalytique de Paris (SPP) et de l’Institut Psychosomatique Pierre Marty de Paris, il a présidé le Groupe Lyonnais de Psychanalyse Rhône-Alpes et exerce à Annecy.

Évelyne Larguèche est sociologue, docteure en Psychopathologie clinique et Psychanalyse, co-fondatrice du Collège des Hautes Études Psychanalytiques. Elle a été ingénieure de recherche au CNRS, attachée au Laboratoire de Psychopathologie clinique puis au Laboratoire d’Anthropologie sociale.

ÉDITIONS IN PRESS www.inpress.fr

Du corps aux langages, destins de l’affect

Sous la direction de Sesto Marcello Passone avec la collaboration de Dominique Fessaguet Avant-propos de Xavier Giraut

Collection de la Société Européennepour la Psychanalysedel’Enfant et lAdolescent (SEPEA)


Un livre hommage à Annie Anzieu et à sa passion clinique et théorique pour la psychanalyse de l’enfant.

Plus de quinze analystes de différents pays rendent hommage à Annie Anzieu (1924-2019), en dialoguant avec la longue et riche expérience d’une analyste fine et déterminée. Figure significative de la psychanalyse française, membre de l’APF, Annie Anzieu avait pour l’enfance une authentique passion clinico-théorique.

Après avoir introduit la psychanalyse avec l’enfant à l’Hôpital de la Pitié Salpêtrière, Annie Anzieu fonde, avec Florence Guignard, la Société européenne pour la Psychanalyse de l’enfant et de l’adolescent (SEPEA), lieu d’échanges pluriels, de recherche et de transmission unique dans ce domaine en Europe.

Collègues, élèves et lecteurs, témoignent de l’intérêt des apports théorico-cliniques et de technique psychanalytique d’Annie Anzieu dans la cure de l’enfant.

>> Des thématiques devenues celles d’une psychanalyse contemporaine ; elles concernent tout âge et toute cure analytique, des enfants comme des adultes.


LA SEPEA :

La Société Européenne pour la Psychanalyse de l’Enfant et de l’Adolescent, fondée en 1994 par Annie Anzieu et Florence Guignard, s’attache à donner une dimension européenne à la réflexion clinique, à la recherche théorique et au perfectionnement de la prise en charge de l’enfant et de l’adolescent. La collection s’adresse à un public de psychanalystes et de psychothérapeutes confrontés à la souffrance psychique de l’enfant et de sa famille.

DIRECTEUR DE L’OUVRAGE :

Sesto Marcello Passone est professeur émérite de l’UCLouvain, psychanalyste membre de la SPP et ancien président de la SEPEA.

AUTEURS :

Maria Luisa Algini, Christine Anzieu-Premmereur, Loïse Barbey-Caussé, Myriam Boubli, Dominique Fessaguet, Teresa Flores, Annette Fréjaville, Xavier Giraut, Bernard Golse, Florence Guignard, Didier Houzel, Agnès Lauras- Petit, Nicole Llopis-Salvan, Sesto-Marcello Passone, Rémy Puyuelo, Luis Rodriguez de la Sierra, Hélène Suarez Labat, Manuela Utrilla Robles.

 

ÉDITIONS IN PRESS www.inpress.fr
ISBN : 978-2-84835-746-1

La perte de soi est souhaitable pour tout un chacun, au titre d’une nécessité intérieure. Se parler et parler, être présent dans les mots et être représenté par les mots, donner mot à ses affects : cela suppose de consentir à ne jamais coïncider avec soi-même.

À l’opposé, il est une autre figure de la perte de soi, relevant de la destructivité et de l’autodestructivité : la disparition de soi à soi-même. Comment survivre a cette perte?

Telle est bien l’interrogation portée par« l’existence limite », qui traverse l’ensemble de l’ouvrage, de la clinique à l’écri­ture, avec deux éclairages aussi indirects qu’essentiels: d’une part, le dialogue de Freud et Ferenczi, destructeur et créa­teur, qui re-commence la psychanalyse; d’autre part, l’écri­ture survivante de Kertesz, qui fait oeuvre de l’effacement.

 

Philosophe et psychologue clinicien de formation, Jean-François Chiantaretto est psychanalyste et professeur de psychopathologie (Université Sorbonne Paris Nord). Depuis l’hypothèse du « témoin interne » formulée en 1999, ses livres sont animés par la question de l’interlocution interne, posée à partir de l’autoprésentation clans l’écri­ture et de la clinique des limites.