Les tracés de la violence se déploient selon des réseaux complexes et pluridirectionnels entre le pôle des psychés et celui de la culture: que la destruction qui se déploie sur la scène du monde se mette en résonance avec une violence oeuvrant dans les psychés et y puise à la fois ses instruments et sa force; ou qu’une destructivité première hantant la psyché lance vers le monde ses pseudopodes dans une tentative d’accrochage ou de mise en acte. Les notions de trace et d’énergie tout comme l’impératif d’un travail de figuration permettront un travail de tissage entre ces deux pôles.